| Auteur | Message | ||
     zeio |
(Bonjour à tous) FUMÉE NUIT J'ai pris la jouissance un soir je l'ai dépliée Comme un papier mouchoir je l'ai vu traîner là, Sur la table à manger il dormait, je croyais Que tu l'avais laissé pour moi rien que pour moi, Ce jouet traînait-là c'était un cadeau de toi ? Je me suis dit mince alors mais l'as-tu oublié Ou bien l'as-tu laissé juste-là sous mon toit Pour que je le serre ce que je veux je ferai Ce que j'ai envie d'en faire, tu vas en rire Elle était là toute seule en quatre pliée. Je n'ai rien su faire d'autre que de l'ouvrir, J'ai pris la jouissance un soir, je l'ai dépliée. | ||
| elle |
ouvrir la jouissance s'ouvrir à elle que faire d'autre même si elle était à partager. | ||
| zeio |
(merci, elle) | ||
| à zeio |
Zeio tu devrais mette un poème par intervention. c'est difficile de les commenter tous je vais essayer de le faire pour toi bienvenue ici . Hélène voilà c'est fait . Si j'ai fait une erreur par inadvertaince dis le moi en toute simplicité merci | ||
| Cécile |
de l'originalité dans ce texte... Ce tutoiement est un plus. Pour la forme, j'aurais enlevé le seul point d'interrogation au milieu.. juste pour une question de cohérence dans le tout | ||
| zeio |
Bonjour Cécile, merci pour cette idée, je vais la garder. C'ets vrai hélène, en fait j'ai l'habitude de les mettre à la suite pour ne pas ouvrir trop de sujets à la fois, tu as bien fait. zeio | ||
| Babouche |
Déplier la jouissance et ne pas la froisser La laisser s’envoler pour lui laisser une chance Enfiler sur ses manches un manteau d’hirondelle Et puis suivre les ailes qui voient déjà l’archange Ne jamais se poser au risque d’expirer Traverser toutes les mers ensemencer la terre Et regarder pousser comme au creux du mystère Les rires des enfants et les sourires des pères |