| Auteur |
Message |
    
karl
| | Envoyé jeudi 26 janvier 2006 - 17h59: | |
une feuille
dans tes silences inquiets
menu et tendre
ces doutes qui te tremblent
je te comprends
le futur à risque bras fermés
et ce seuil qui t'épie
on dit protège-toi
tu marches au vent
le coeur en vagues
on redit protège-toi
mais ce souffle qui te porte
a tant de promesses à tenir
que tu sors encore tête haute
dans les trésors de demain
va petit
va dans le blond de la brise
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Pour Karl
| | Envoyé jeudi 26 janvier 2006 - 21h36: | |
...Toujours ces poèmes-funambules, sur un fil tendu entre espoir et tendresse, au-dessus de l'horreur possible. Il faut traverser, ne pas regarder vers ailleurs qu'à l'autre extrémité, Celle qui fait vivre. Là, n'être plus que présence sans armure, le temps, à son tour, de guérir. (Lilas)
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Cécile
| | Envoyé vendredi 27 janvier 2006 - 10h53: | |
une poésie sensible... très appréciée. |
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