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Marion Lubréac
| Envoyé mardi 18 janvier 2005 - 21h52: | |
REGARD D AILES ET DE PIEDS LEGERS Tu viens juste de poser la fleur de tes pupilles sur les ailes de mes souliers. Tes yeux s’arrêtent, tes yeux luminescents, tu me regardes. Mes petits pieds comme des oiseaux pépient et s’ébrouent dans cette flaque de lumière dorée. Un envol de chevilles satinées imagine le ciel de ton regard fondant. Je t’aime, disent mes ailes vibrantes, en virevoltant autour de la couronne de tes cheveux. Elles ne souhaitent plus s’éloigner de la portée liquide de ton visage. Sur les ailes de mes souliers, la fleur délicate de tes regards d’aimant fleurit. Marion LUBREAC 06/01/05
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mohand
| Envoyé mercredi 19 janvier 2005 - 16h20: | |
regard perçant qui fait du moment de separation une sensationn, pas seulement un sentiùent, car la poesie a ce merite de pouvoir dire ce que le quotidien, le reel, la banalité des gestes, ne disent pas |
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