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elle se présente à vous.
Pénétré de silence l'espace ouvert d'une mémoire tourmentée.
Mes mots y habitent
Ils sont dans l'œil rond
Moiteur
Dans l'argile
Nomades échappés de l'informe
Ils disent la pluie visqueuse
Un pas après l'autre
Ils s'y enroulent
Un pas puis un autre
Un pas peut-être
les visages se tournent
Une âme, si elle veut se connaître,
c'est dans une âme qu'elle doit se regarder. Platon *** ->
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Créé le 1 mars 2002
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