|
|
||||||
|
|||||||
il se présente à vous.
Je me regarde passer Le temps m’a desséché comme un pruneau je n’ai pas trouvé mon bocal j’ai gardé l’œil humide je creuse le gris du ciel pour trouver tes yeux j’enferme ma solitude dans l’absence du dehors le chat griffe des carrés d’absence ouvre l’œil de la tendresse j’attends que vienne l’heure je ne fermerai pas le robinet le temps coulera. Il y a des cerises dans le jardin ******** ->
Vous désirez envoyer un commentaire sur ce texte?
-> Vous voulez nous envoyer vos textes? Tous
les renseignements dans la rubrique : "Comité
de poésie" |
Créé le 1 mars 2002
A visionner avec Internet Explorer