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il se présente à vous.
Dans les torsades du silence un bleu plus bleu que ce ciel, plus grand que ce nuage d’ombre blanche ouvre deux déchirures parsemées d’oies sauvages j’ai fermé le bruit, le tumulte et la guerre j’ai tendu la main au silence un oiseau est entré qui a fissuré les barbelés jusqu’à la quiétude Dans les torsades du silence plus grand que ce nuage d’ombre blanche j’ai fermé la fissure planté un cri de joie lancinant ******** ->
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Créé le 1 mars 2002
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