|
|
||||||
|
|||||||
elle se présente à vous.
Le dé est jeté, le sort...
La vie Comme un entonnoir Les fous la portent sur la tête Evitent de tomber dedans Extrémité Phallus C’est le pipeau en lutte avec la mélodie funèbre Ce champ des possibles qui sans fin se contracte Au fur et à mesure que s’encre L’indélébile réalité Côté Utérus Larges bords évasés C’est l’enfance et le rêve L’économie de la responsabilité Le nid douillet où tremble le fragile Y’a pas d’endroit où dormir tranquille Grâce à l’accessoire chaque matin s’écoule Le refoulé c’est pour les gouttes Tombées à côtés Tâches qui souillent la clarté du jour Qui les voit ? Ceux qui s’y brûlent Ceux qui calculent les ego rythmes Pour s’élancer du bord S’émanciper de la matrice Qui y arrive? Ceux qui ont jouis de cette petite mort Et en sont revenus Vivants parmi les sus pendus.
*** ->
Vous désirez envoyer un commentaire sur
ce texte?
-> Vous voulez nous envoyer vos textes? Tous
les renseignements dans la rubrique : "Comité de poésie" |
Créé le 1 mars 2002
A visionner avec Internet Explorer