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Mars-Avril 2019

 

 

Invitée : Simone Landry

 

« La poésie comme une lampe… »

 

Poèmes inédits pour Francopolis

 

Peinture et photographie par Andreea-Maria Lemnaru-Carrez (*)

 

A.Lemnaru-2

 

Lors de la présentation de son album sur Hélène Laffly au Territoire du poème (brasserie François Coppée à Paris, le 15 mars 2019 – voir dans ce numéro même la rubrique Creaphonie), cette grande dame de la poésie et de l’esprit qu’est Simone Landry nous a éblouis en déclarant, de sa voix claire et forte d’ancienne comédienne, qu’elle continuait d’écrire, tous les jours, parce qu’elle entendait vivre pleinement chaque moment des années restantes de sa vie. J’ai noté ses dires : « On promet aux gens l’éternité, mais c’est lourd à porter. Je ne sais pas si je l’atteindrai, je ne sais pas si je le mérite, mais je vis pleinement le temps qu’il me reste à vivre. ». J’ai eu l’immense privilège, en lui rendant par la suite visite chez elle, de me nourrir de quelques-uns de ses poèmes tout récemment écrits, qu’avec son accord généreux je partage avec nos lecteurs en les reproduisant ici.

D.S.

L’angoisse rôde…

1-A l'aube des petits matins2-Aube froissée

Il tient dans la main une fleur sèche…

Deux morceaux de bois S.Landry-4

La poésie comme une lampe…

7-Un matin pâle 

Une joie inconnue…

5-Forces de mort 6-Souvenirs

Un amour immense…

Angoisse et fulgurance Le soleil n'est pas éteint

 

A.Lemnaru-3

 

* La jeune poète Andreea-Maria Lemnaru-Carrez (voir sa dernière publication de poésie dans nos Annonces) se révèle aussi comme artiste peintre et photographe (voir aussi, dans ce même numéro, la rubrique Creaphonie).

 

 

 

 

Salon de lecture :
Simone Landry

 

recherche Dana Shishmanian

Francopolis, mars-avril 2019

 

Créé le 1 mars 2002

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